What is love

baby don't hurt me no more
je suis né à sacramento ✻ ma mère est russe et mon père américain ✻ j'ai été inscris dès ma naissance, à la fois à salem puis à durmstrang. j'ai malgré tout eu le choix et j'ai préféré rester aux états unis ✻ ma mère étant legilimens elle m'a appris à devenir occlumens afin de toujours me protéger. si elle n'est pas allez doucement, cela à payé et je lui dois bien ça ! ✻ mon père est apothicaire et ma mère est professeur de défenses contre les forces du mal à durmstrang ✻ j'ai appris à voler avant même de savoir marcher ✻ je suis un grand passionné de quidditch est aspire à devenir joueur professionnel dans l'équipe nationale ✻ je suis particulièrement doué en potion et en sortilèges. ✻ je n'ai jamais vraiment rien trouvé d'intéressant à la divination bien que dans ma famille ma grand-mère maternelle était voyante ✻ j'ai longtemps été somnambule mais je suis aujourd'hui insomniaque ✻  j'ai un hibou qui s'appelle scar ✻  je suis plus proche de mon père que de ma mère ✻ j'ai peur du feu suite à un incendie criminel lancé sur ma maison quand j'avais douze ans ✻ je suis fils unique bien que j'aurai aimé être ainé ✻ la première manifestation magique est apparu à l'âge de 3 ans. après un éternuement, je me suis volatisé pour réapparaitre, perché sur ma chaise haute. ✻ je passe tous les noël en russie en famille. on se retrouve tous là bas pour les fêtes de fin d'année ✻ j'adore fumer des cigarettes et boire du whisky ✻ ce qu'il adore par dessus tout aussi, c'est la musique moldue, plusieurs groupes de rock, ancien ✻ il a également une platine et une collection impressionnante de vinyls. bien que son père lui ait suggérer d'améliorer la platine avec une pointe de magie, il a catégoriquement refusé. ✻ il joue de la guitare et du piano.

∟ - descends de ce balai cézanne ! ma mère cri à travers la fenêtre de la cuisine. j'ai que faire de sa demande, je m'amuse trop bien là-haut. nous sommes samedi et c'est le dernier week-end avant la rentrée à salem. quelle hâte, quelle excitation d'entrer dans une école de magie aussi prestigieuse. je me pince doucement les lèvres puis attrape la pomme que mon père me lance de tout en bas. soudain, tandis que je croque à pleine dent dans le fruit, mon balai est attiré vers le seul, sans que je ne lui ai demandé quelque chose. - je t'ai dis de venir trois fois jeune homme ! ma mère en colère se tient sur le seuil de la baraque. - cesses de distraire ton fils chéri ! qu'elle rajoute à l'attention de mon père. il m'adresse un sourire complice puis récupère mon balai. - j'arrive maman. c'est l'heure de mon cours d'occlumencie. assis sur une chaise de la cuisine, on s'affaire pendant deux bonnes heures. jusqu'à l'heure du dîner. la soirée passe. mon père me raconte une nouvelle fois le récit des trois frères puis je m'en vais au lit. quelle douce soirée. la lune est pleine, très haut dans le ciel étoilé. découvert, je peux admirer les étoiles de mon lit. le plafond artificiel que j'ai actionné au dessus de ma tête est tout aussi fascinant et ne peut jalouser les étoiles filantes du vrai. quoi que... je m'endors vite et la rentrée arrive sans même que je ne m'en rend compte.


- il y a entrainement à trois heures ! que m'indique mon collègue. murmure à mon oreille tandis que je rajoute de la poudre dans mon chaudron. - tu as oublié la plume de phoenix. dis-je à mon ami qui est sur le point de faire foiré sa potion. il me remercie d'un sourire puis le professeur rappel à l'ordre. du silence. de la concentration. à la fin de la journée, je rentre au dortoir et retrouve la chaleur de mes couvertures après un entraînement jusqu'à tard. vendredi, il y a match. on joue face à l'équipe de l'école beauxbâtons. chez eux, il y a une certaine pernelle beaumont. une attrapeuse très douée. c'est toujours un plaisir de jouer contre elle car on ne s'ennuie point. quand on arrive sur le terrain, nos regards se croisent et un fin sourire étire nos lèvres. je reçois un coup de coude de la part de mon collègue, batteur. et on s'élance. le vif d'or libéré, je me concentre pour le repérer. à l'autre bout du terrain, je vois la jeune femme, tout aussi concentrée. je m'autorise quelques instants pour la regarder puis pointe alors pour foncer vers le seul et remonter à quelques centimètres seulement. je file alors - sur tout le pourtour du terrain puis scrute l'horizon. à la recherche de la précieuse balle dorée. soudain, je vois le vif et la seconde d'après un violent courant d'air. je vois pernelle filer à grande vitesse. un fin sourire sur les lèvres, je la suis, la rattrape et lui adresse un clin d'oeil avant de la dépasser. le match file et l'équipe de salem mène. de très près celle de beauxbâtons. le public s'affole face à notre course poursuite. je décide de prendre un raccourci, m'engouffrant sous les grands tissus recouvrant les estrades. et je remonte en flèche, évitant in extremis un cognard. quelques instants encore et on fonce avec pernelle jusqu'au vif. bras tendu. doigts étirés du mieux qu'on le peux. on se bouscule une première fois, une deuxième fois et on s'élance. sous les regards ébahis et les acclamations. on s'écroule par terre, à se rouler dans la terre. pernelle se retrouve au dessus de moi, toute allongée et je tends mon bras fièrement, découvrant le vif d'or. alors, les acclamations, les applaudissements. - après une bataille acharnée avec pernelle beaumont, cézanne s'empare du vif d'or. salem gagne ! un large sourire étire mes lèvres et pernelle se relève, m'adressant un regard provocateur. mais son sourire, son fin sourire espiègle étire ses lèvres roses et charnues. je me relève et vient lui serrer la main, la félicitant. (...)

- ô, cézanne ! je me retourne d'un seul coup et vois pernelle enroulée dans une serviette courte. je patauge dans le bain moussant de la grande baignoire de la salle de bains des préfets. quel privilège pour ces invités de français à accéder à cette pièce. je lui adresse un sourire puis me retourne me pincer alors la lèvre en secret. - j'ai fini, je vais te laisser...un peu d'intimité. dis-je espiègle avant de la voir de l'autre côté de la baignoire, se cachant avec la serviette pour glisser dans l'eau chaude. je me pince les lèvres puis la regarde nager jusqu'à moi. - ah, tu es une femme comme ça, toi. je la taquine et glisse mes yeux sur ses épaules nues. - c'est ça. elle hoche la tête puis s'installe à ma gauche. - tu m'as impressionné tout à l'heure. bien joué. - tu t'es bien battue. c'est...toujours un plaisir de jouer contre toi. elle sourit, fièrement puis approche sa bouche de mon oreille. alors je frisonne quand son souffle caresse ma peau. - tu n'étais pas mal non plus. elle articule doucement et sa voix est davantage plus irrésistible avec son léger accent. j'ai toujours plus ou moins craqué pour elle. je la soupçonne aussi de son côté. je louche sur ses lèvres puis pour la taquiner rajoute : - tu gagneras peut être un jour. elle m'envoi un coup dans l'épaule et je ris de bon coeur. elle sait bien que je ne suis pas sérieux, je suis loin d'être macho. je sens ses lèvres glisser jusqu'à ma joue et alors, je tourne ma tête pour l'embrasser doucement. je la sens qui sourit et qui s'agrippe à mon cou après d'être logée contre mon torse. je frisonne de plus belle puis accentue, glissant mes mains dans son dos. mes lèvres recouvrent son cou de baiser et nos corps s'échauffent. je jette un coup d'oeil derrière moi puis prends ma baguette pour verrouiller les portes. je l'entends rire avant qu'elle ne s'attarde sur mes lèvres rougies par le précédent baiser.